Albert Hamm a été décoré de la Croix d’Officier dans l’Ordre du Mérite de la République Fédérale d’Allemagne
Albert Hamm, ancien président de l’Université franco-allemande (UFA), a reçu la Croix d’Officier dans l’Ordre du Mérite de la République Fédérale d’Allemagne pour son action en faveur de la coopération universitaire franco-allemande.
Albert Hamm, ancien président de l’UFA, a reçu la Croix d’Officier dans l’Ordre du Mérite de la République Fédérale d’Allemagne, par Wilhelm Späth, Consul Général de la République Fédérale d’Allemagne à Marseille, le 20 mai dernier à l’hôtel de ville d’Aix-en-Provence, à l’occasion de l’assemblée générale des établissements membres de l’UFA. Cette distinction vient saluer son action en faveur de la coopération universitaire franco-allemande. Selon Wilhelm Späth, M. Hamm a contribué de manière significative à la création et au développement de l’Université franco-allemande. L’équipe de l’UFA est particulièrement fière de cette récompense.
Président de l’Université Marc Bloch de Strasbourg (1993-1998) et Vice-président de la Conférence des Présidents des Universités (CPU) chargé de la coopération internationale (1995-1997), Albert Hamm s’est engagé dès les années 1990 en faveur de la création de l’Université franco-allemande. Représentant de la CPU au conseil d’université de l’UFA (1999-2003), Albert Hamm est élu en 2003 à la présidence de l’UFA (2004-2007), aux côtés de Dieter Leonhard. Il siège depuis le 1er janvier 2008 au conseil d’université de l’UFA en qualité de membre désigné par le Ministère des Affaires étrangères et européennes.
Dans son discours de remerciement, Albert Hamm a souligné le caractère exceptionnel de l’amitié franco-allemande. Il a fait part de sa joie de pouvoir contribuer à la création d’un espace européen de l’enseignement supérieur et de la recherche. « J’ai eu le bonheur d’exercer ces quatre années de mandat dans un climat de dynamisme, de grande confiance, et aussi de bonne humeur », souligne M. Hamm. « L’honneur qui m’est fait, précise-t-il, revient pour une large part à mon collègue Dieter Leonhard ainsi qu’à toute l’équipe de l’UFA et aux responsables d’établissements et de programmes, avec qui j’ai pu contribuer, à mon modeste niveau, au développement des relations franco-allemandes en matière de soutien à l’enseignement supérieur et à la recherche ».