Le Bitcoin et les autres cryptomonnaies – Nouveaux risques de blanchiment de capitaux et autres défis pour le droit pénal

Les cryptomonnaies, en particulier le bitcoin, posent de nouveaux défis au droit pénal. Leur disponibilité à l’échelle mondiale, la possibilité de les transférer facilement, l’absence d’autorité de contrôle et une large garantie de l’anonymat rendent le bitcoin attractif pour les délinquants. Dans le cadre de l’atelier de recherche trinational seront discutées les questions de savoir dans quelle mesure le droit pénal met déjà à disposition, de lege lata, des instruments juridiques adéquats ou s’il devrait de lege ferenda mettre de tels instruments à disposition pour lutter de manière pertinente contre les nouvelles formes de criminalité qui se sont développées par l’apparition des cryptomonnaies comme le bitcoin (en particulier dans le domaine du blanchiment d’argent).

21. - 24.11.2018, Goersdorf